samedi 17 mars 2012

Commentaires sur la visite d’un ePortfolio


Le 18 mars 2011, j’ai regardé le ePortfolio de Julie Hubert. Voici son lien : http://eduportfolio.org/38250. La mise en page et la structure sont très bien faites.  De façon générale, la division des sections est bonne sauf, à un endroit où ce n’est pas très clair. En effet, où c’est indiqué « Comment ai-je développé la compétence » et « Degré de maîtrise de la compétence », ces deux sous-titres font référence au cours PPA6011, mais on les retrouve en-dessous du sous-titre concernant le cours PPA6403.  Personnellement, je trouve le contenu du ePortfolio pertinents, mais il est un peu trop court. Par exemple, Julie aurait pu élaborer davantage dans la section intitulée « Comment ai-je développé la compétence ». Elle aurait pu également donner un exemple concret pour démontrer la maîtrise de la compétence souhaitée. Quant à la biographie, elle est excellente! L’introduction, la description du cours et la liste des principales compétences sont très bien. Tout ce qui est écrit est clair et cohérent. Le ePortfolio est très agréable à lire! En gros, Bravo Julie!
En faisant la critique du ePortfolio de Julie Hubert, j’ai réalisé les forces et les faiblesses du ePortfolio. Premièrement, je trouve cela plus intéressant de lire l’information du ePortfolio que du curriculum vitae. Je trouve aussi que le ePortfolio nous permet d’en savoir un plus sur la personne avant même d’avoir lu le contenu notamment, au niveau de ses compétences en informatique. La possibilité d’écriture est beaucoup plus vaste qu’un curriculum vitae qui contient habituellement trois pages. Par ailleurs, concernant les faiblesses du ePortfolio, il faut absolument avoir l’internet pour y avoir accès. Ce qui peut être un véritable obstacle lorsqu’il se présente des problèmes techniques. De plus, le ePortfolio limite un peu notre créativité, car on ne peut pas organiser l’espace comme on le voudrait ou modifier la police et la taille de l’écriture. Toutefois, je suis bien contente d’avoir un ePortfolio, je trouve que c’est un outil très vendeur auprès des employeurs. En effet, le ePortfolio nous donne une image professionnelle, compétente et à la fine pointe de la technologie.

samedi 3 mars 2012

Quelle a été l’influence de mon contexte familial sur mon parcours scolaire?

Une des principales raisons qui fait que je me suis rendue aux études postsecondaires est l’éducation que mes parents m’ont inculquée. Pendant toute ma vie, mes parents ont prôné l’importance d’aller à l’école le plus longtemps possible afin de pouvoir bien gagner sa vie plus tard. Même toute petite, lorsqu’on circulions à Ottawa, ils me disaient: « C’est ici à l’Université d’Ottawa où tu étudieras lorsque tu seras plus vieille ». Et effectivement, en juin 2011, j’ai complété un baccalauréat spécialisé à cette même université. Mes parents m’ont toujours encouragée à donner mon 100%, à travailler fort pour réussir. Lorsque je devais remettre un travail, ma mère me disait : «tu le fais bien ou pas du tout». Ma mère m’a toujours beaucoup soutenue au cours de mes études. Si je ne comprenais pas une certaine matière, je savais qu’elle serait heureuse de me l’expliquer. C’est donc en partie grâce à elle que je sais si bien lire et écrire et que j’ai éventuellement réussi à être admise aux études postsecondaires. Ma mère a été un peu pour moi un modèle d’enseignement.

vendredi 24 février 2012

Quel est le symbole qui me représente le mieux?

Après mûre réflexion, je crois que le symbole qui me représente le mieux est un SOLEIL. Je suis reconnue pour être toujours de bonne humeur et de rendre les gens autour de moi heureux. Comme les rayons du soleil qui nous réchauffent et nous font du bien, ma joie de vivre est contagieuse et apporte du réconfort. En effet, la bonne humeur est un de mes traits de personnalité qui me tient à cœur et je trouve qu’il est essentiel pour établir un lien de confiance avec un enfant. Si l’élève ressent que tu es heureux de travailler avec lui, celui-ci sera éventuellement content de travailler avec toi et ainsi, il sera plus motivé à effectuer son travail. C’est ma manière d’être, même si je ne vais pas bien, j’essaie de rester positive et de sourire à tous ceux que je rencontre sur mon chemin. Dans le futur, j’espère que je resterai ce soleil souriant, puisqu’il sera un atout aussi bien dans ma vie personnelle que professionnelle. Si je peux apporter un peu de joie et de plaisir dans la vie d’autrui, pourquoi pas?

vendredi 17 février 2012

Quel rôle jouent les technologies ?

Les technologies peuvent jouer un rôle majeur pour les élèves, surtout les enfants ayant des handicaps ou des difficultés d’apprentissage. En effet, de nos jours, les enfants sont très à l’aise avec les ordinateurs et apprécient beaucoup les périodes dédiées à l’informatique. Par exemple, d’après mon expérience, les enfants préfèrent faire un projet à l’aide d’un Power Point que sur un carton. Par conséquent, lorsqu’ils aiment ce qu’ils font, ils demeurent concentrés, ils s’investissent davantage, ce qui les valorise énormément. Par conséquent, une orthopédagogue peut vraiment bénéficier de l’utilisation des technologies. Personnellement, j’intégrerai la technologie lorsque les enfants auront de la recherche à faire, rédiger un texte ou bien préparer une présentation orale. D’ailleurs, Depover, Giardina et Marton (1998) confirment que l’utilisation de l’ordinateur apporte des bénéfices pédagogiques importants. Ils déclarent :
« La qualité des mises en situation permises par une présentation
multimédia associée à la possibilité de solliciter de la part des apprenants
des activités hautement significatives permet, dès les premières phases de l’apprentissage, de confronter l’étudiant aux exigences de la pratique en contexte réel. Cet aspect est particulièrement important en matière de formation en milieu professionnel où il s’agit que l’apprenant puisse rapidement investir ses compétences nouvelles dans son milieu de
travail ».
 Ainsi, c’est en passant de la théorie à la pratique par l’utilisation de la technologie que nous préparons l’enfant à la vie en société. Actuellement, la technologie est partout et pour réussir socialement il faut absolument savoir travailler avec celle-ci.

samedi 11 février 2012

Comment je me situe face au travail avec le ePortfolio?

J’ai débuté le ePortfolio dès le deuxième cours de PPA6001 qui était consacré à ce sujet. J’ai même profité des vacances de Noël pour produire ma bibliographie et mon introduction. En effet, dès que je commençais un cours j’inscrivais presque aussitôt dans mon ePortfolio la cote et la description de ce cours, le nom du professeur, la liste des compétences visées par ce cours, la compétence que j’aimerais le plus développer ainsi que le lien professionnel avec celle-ci. En fait, il ne me reste qu’à identifier le degré de maîtrise que j’aurai acquis de cette compétence et d’expliquer comment je l’aurai développée, ce que j’ajouterai à la fin de la session. J’ai l’impression que ce sera la partie la plus compliquée à compléter, puisqu’il est difficile de bien s’autoévaluer et de le démontrer par des exemples concrets. Cela demande donc une capacité d’analyse ainsi que du temps.

vendredi 3 février 2012

Comment gérez-vous la réalisation de vos travaux dans le cours ?

Je trouve que je gère bien la réalisation de mes travaux dans le cours. Je dois avouer que je suis une personne très organisée. En effet, j’utilise mon agenda plusieurs fois par jour, c’est une vraie obsession! J’apprécie beaucoup la liberté et l’autonomie que permettent STUDIUM et les ateliers, puisque j’aime travailler à mon rythme et au moment que cela me convient le mieux. Je déteste faire de la procrastination, cela me stresse. Par exemple, il y a déjà un certain temps que j’ai commencé le ePortfolio. Donc, planifier mon horaire à l’aide de mon agenda est pour moi une importante source de motivation. Ainsi, je peux gérer sans trop de stress et de panique le fait d’avoir à effectuer plusieurs travaux en parallèle.

vendredi 27 janvier 2012

Pourquoi suis-je à la maîtrise en orthopédagogie?

Ce qui explique que mon choix s’est arrêté en orthopédagogie est définitivement l’emploi de tutrice et d’aide aux devoirs que j’ai occupé de mai à juin 2011. Les deux postes étaient un à la suite de l’autre à l’école élémentaire catholique Sainte-Trinité de Rockland, en Ontario. Cet emploi est offert seulement aux étudiants aux études postsecondaires, il n’est donc malheureusement pas permanent. Après l’école, du lundi au jeudi, j’aidais un enfant de huit ans ayant un PEI à faire ses devoirs et à étudier pour ses tests. Dès le début, l’enseignante de cet élève a rapidement réalisé à quel point j’étais dédiée. En effet,  j’arrivais en classe avec des tests que je lui faisais pour se pratiquer ou j’organisais des jeux en lien avec ses devoirs afin de le garder intéressé, puisqu’il avait aussi des problèmes de concentration. Pendant les deux mois que j’ai travaillé avec lui, ses résultats scolaires ont augmentés considérablement, il obtenait généralement des A. Son enseignante me disait régulièrement que j’étais faite pour travailler dans le domaine de l’éducation et que j’étais vraiment douée avec les enfants. Le fait de voir l’enfant si content de réussir et l’encouragement de son enseignante m’a amenée à songer sérieusement à poursuivre ma scolarité dans le domaine de l’éducation. Quant à ma fonction de tutrice, celle-ci consistait à aider les trois enseignantes de la sixième année en circulant dans les classes pour répondre aux diverses questions des élèves ou en assistant de façon individuelle un ou deux étudiants ayant de la difficulté. Également, je lisais et/ou j’écrivais les réponses des étudiants dyslexiques lors des travaux ou des évaluations. J’ai réalisé qu’une dame faisait la même chose que moi dans la classe et je lui ai demandé quelle était sa profession et son niveau de scolarité. Cette dame m’a dit qu’elle était enseignante-ressource (synonyme d’orthopédagogue au Québec) et qu’elle avait une maîtrise. Moi qui adorais faire ce travail et apprendre que je pouvais le faire toute ma vie m’a tout de suite motivée à m’informer sur cette maîtrise sur les sites web de diverses universités ontariennes et québécoises. C’est ainsi qu’à la fin du mois de juin 2011, j’ai fait ma demande d’admission à l’Université de Montréal pour la session d’hiver, puisque j’étais malheureusement trop tard pour la session d’automne. Sans parler que j’avais toujours voulu étudier à cette prestigieuse université! Peu de temps après, l’Université m’a acceptée et me voilà ici pour cette maîtrise en orthopédagogie!