vendredi 27 janvier 2012

Pourquoi suis-je à la maîtrise en orthopédagogie?

Ce qui explique que mon choix s’est arrêté en orthopédagogie est définitivement l’emploi de tutrice et d’aide aux devoirs que j’ai occupé de mai à juin 2011. Les deux postes étaient un à la suite de l’autre à l’école élémentaire catholique Sainte-Trinité de Rockland, en Ontario. Cet emploi est offert seulement aux étudiants aux études postsecondaires, il n’est donc malheureusement pas permanent. Après l’école, du lundi au jeudi, j’aidais un enfant de huit ans ayant un PEI à faire ses devoirs et à étudier pour ses tests. Dès le début, l’enseignante de cet élève a rapidement réalisé à quel point j’étais dédiée. En effet,  j’arrivais en classe avec des tests que je lui faisais pour se pratiquer ou j’organisais des jeux en lien avec ses devoirs afin de le garder intéressé, puisqu’il avait aussi des problèmes de concentration. Pendant les deux mois que j’ai travaillé avec lui, ses résultats scolaires ont augmentés considérablement, il obtenait généralement des A. Son enseignante me disait régulièrement que j’étais faite pour travailler dans le domaine de l’éducation et que j’étais vraiment douée avec les enfants. Le fait de voir l’enfant si content de réussir et l’encouragement de son enseignante m’a amenée à songer sérieusement à poursuivre ma scolarité dans le domaine de l’éducation. Quant à ma fonction de tutrice, celle-ci consistait à aider les trois enseignantes de la sixième année en circulant dans les classes pour répondre aux diverses questions des élèves ou en assistant de façon individuelle un ou deux étudiants ayant de la difficulté. Également, je lisais et/ou j’écrivais les réponses des étudiants dyslexiques lors des travaux ou des évaluations. J’ai réalisé qu’une dame faisait la même chose que moi dans la classe et je lui ai demandé quelle était sa profession et son niveau de scolarité. Cette dame m’a dit qu’elle était enseignante-ressource (synonyme d’orthopédagogue au Québec) et qu’elle avait une maîtrise. Moi qui adorais faire ce travail et apprendre que je pouvais le faire toute ma vie m’a tout de suite motivée à m’informer sur cette maîtrise sur les sites web de diverses universités ontariennes et québécoises. C’est ainsi qu’à la fin du mois de juin 2011, j’ai fait ma demande d’admission à l’Université de Montréal pour la session d’hiver, puisque j’étais malheureusement trop tard pour la session d’automne. Sans parler que j’avais toujours voulu étudier à cette prestigieuse université! Peu de temps après, l’Université m’a acceptée et me voilà ici pour cette maîtrise en orthopédagogie!

vendredi 20 janvier 2012

Le blog

Le blog est un nouvel outil pour moi. Je ne l’avais jamais utilisé auparavant bien que j’en avais déjà entendu parler. Toutefois, pour une débutante, je me sens assez à l’aise lors de ma production hebdomadaire. Je trouve que le cours d’introduction au blog a été d’une grande utilité, puisque je suis désormais capable de publier un message et de commenter ceux des autres sans difficulté. D’ailleurs, moi qui aime écrire, j’apprécie grandement cette opportunité de réflexion et d’écriture. Je suis très heureuse que le cours de PPA6001 nous incite à utiliser le blog, parce que cet outil nous amène à réfléchir et à le mettre par écrit. Depuis que j’ai un blog cela m’a poussé à me questionner sur mes études et sur la profession d’orthopédagogue. Ainsi, je me sens plus organisée et détendue concernant mon avenir. De plus, puisque le blog est public, cela me permet de voir d’autres points de vue que le mien. Ainsi, cela me permet de développer une ouverture d’esprit. En tant qu’orthopédagogue, le blog pourra m’être utile pour écrire des réflexions ou des questions concernant mes interventions ou sur ma clientèle. En effet, les commentaires des gens pourront m’aider à mieux orienter ma pratique et m’apporter des conseils ou des solutions à mes interrogations. Sans parler que le blog pourrait servir de motivation à écrire aux élèves ayant des difficultés d’apprentissage, d’adaptation ou ayant un handicap. Par conséquent, si l’élève est motivé, il mettra plus d’effort et finalement, aura sûrement de meilleurs résultats qu’un élève qui ne l’est pas motivé. Par ailleurs, j’ai identifié deux contraintes possibles. Premièrement, n’importe qui peut créer un blog et donc, il se peut que je reçoive des commentaires non-pertinents. Une autre contrainte est que parfois lorsqu’on met des réflexions par écrit, les lecteurs ne comprennent pas nécessairement ce qu’on voulait dire.

samedi 14 janvier 2012

Logiciel Word

Le logiciel Word est devenu un outil essentiel dans ma pratique scolaire et professionnelle. On ne peut plus s’en passer! Par exemple, dans mon projet de formation, j’utilise Word à tous les jours afin de taper mes notes de cours et pour produire des textes. D’ailleurs, dans ma pratique professionnelle, il sera d’autant plus utile afin de produire des textes, mais cette fois, de nature professionnelle. Également, connaître le fonctionnement de Word me permettra d’apporter de l’aide aux étudiants qui ont des questions à ce sujet. Donc, selon moi, il est essentiel de maîtriser comment modifier le style, la couleur, la taille et l’alignement du texte. Savoir créer une page titre, une page des matières, un en-tête, un pied de page, un tableau et un graphique, en plus d’insérer une note de fin et un numéro de page sont aussi importants. Ces connaissances sont primordiales pour pouvoir rendre des textes de qualité! Toutefois, de mon point de vue, en lien avec mon plan d’étude et de ma pratique professionnelle, il est moins essentiel de connaître comment s’identifier et régler les propriétés du document ainsi que les préférences de Word. Et, j’ajouterais également, savoir comparer des versions, créer des enveloppes et des étiquettes. En effet, je n’avais jamais utilisé ces fonctions et par conséquent, celles - ci ne sont pas si indispensables que ça.